C’est parti pour la saison 2 de l’émission “Qui veut être mon associé” qui a démarré le mercredi 05 janvier sur la chaine M6 présenté par Xavier Domergue. Elle permet à des entrepreneurs de lever des fonds à la télévision en présentant leurs projets devant des investisseurs.
Cette nouvelle saison surnommée « quoi qu’il en coûte » par Jonathan CURIEL, le directeur général adjoint des programmes du groupe M6. C’est 5 millions d’euros qui ont été investi soit un million de plus que durant la première saison.
Qui sont les sept investisseurs de l’émission ?
Elle est la Présidente du Groupe Charles André, entreprise de logistique et de transports industriels.
Elle possède également plusieurs établissements prestigieux.
C’est sa 2ème participation à l’émission et elle a investi dans les start-ups suivantes :
- La start-up Embal’vert spécialisée dans les emballages industriels
- La start-up Constant&Zoé, une marque de vêtements pour personnes en situation de handicap
Elle est la fondatrice de la marque de prêt-à-porter Paul&Joe et c’est un exemple de réussite entrepreneuriale à la française. Artiste dans l’âme, l’une de ses valeurs principales est le Made In France.
C’est sa première participation à l’émission.
Après son très gros succès avec le portail en ligne EasyVoyages, il s’est lancé dans une nouvelle aventure entrepreneuriale en 2021 avec Fairmoove spécialisée dans le voyage responsable.
Il possède une vingtaine de start-up spécialisés dans les domaines suivants : le tourisme et la greentech.
C’est sa première participation à l’émission.
Après un début de parcours d’entrepreneur dans les hébergements de sites web à la fin des années 1990, il fonde ensuite Meetic en 2001, le renommé site de rencontres.
Il décide de revendre l’entreprise 10 ans après au géant américain Match.com.
Il démarre alors une carrière de business angel en multipliant les investissements dans les jeunes pousses.
En 2017, il a créé l’entreprise Angell, une marque de vélos électriques haut de gamme.
C’est sa deuxième participation à l’émission.
Dirigeante de société » IWCorp, elle développe de nombreux projets dans les domaines suivants : l’immobilier, la tech, la cosmétique, la santé.
De plus, elle mène de front de nombreuses initiatives caritatives comme par exemple le Red Défilé pour sensibiliser le public aux maladies cardiovasculaires.
C’est sa première participation à l’émission.
Il est à l’origine de Feed, une start-up spécialisée dans la foodtech créée en 2016 en proposant des repas complets en poudre ou en barre.
C’est sa première participation à l’émission et c’est un habitué des levées de fonds.
A 33 ans, il a investi dans plus de 45 jeunes pousses dont les domaines sont variés parmi lesquelles :
- La marque de cosmétiques naturels Respire
- La fintech Bling
En 2011, il co-fonde Ledger, une licorne française spécialisée dans la sécurité des cryptomonnaies qui a été valorisée à plus de 1,5 milliard de dollars.
C’est sa deuxième participation à l’émission. Il possède 16 entreprises et a investi dans 7 entreprises à l’occasion de la première saison de l’émission.
Il détient un portefeuille d’entreprises très diversifiées dont :
- La belle Bouse, un fertilisant naturel
- Pharow, un logiciel de prospection
Qu’est-ce qui donne envie à ces entrepreneurs d’investir ? Qu’est-ce qui les agace ?
| Ce qui leur donnent envie d’investir | Ce qui les agacent |
Delphine ANDRÉ (elle mise sur l’esprit d’équipe) | Une personne organisée L’investissement de la personne dans son entreprise Attention particulière au Made In France
| Un entrepreneur trop éparpillé ou rêveur Manque de cohérence et de réalisme dans le projet |
Sophie MÉCHALY (elle privilégie la touche artistique) | Attention particulière au Made In France Un projet avec un aspect créatif unique.
| Si ce n’est pas son domaine, elle ne se lance pas.
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Jean-Pierre NADIR (il parie sur les projets à impact)
| Il aime les gens empathiques et gentils. | Si le marché est encombré et qu’il ne visualise pas qui va acheter le produit, il ne se lancera pas.
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Marc SIMONCINI (il identifie les qualités de l’entrepreneur)
| L’entrepreneur qui mène le projet doit être bon dans son domaine. | Les personnes qui veulent devenir entrepreneurs pour les mauvaises raisons et s’imaginent pouvoir obtenir de l’argent facile.
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Isabelle WEILL (elle cherche des créateurs qui s’engagent) | Un projet d’entrepreneuriat social, présenté de manière claire.
| Si elle ne comprend pas le business, elle ne lance pas.
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Anthony BOURBON (il parie sur les parcours originaux) | Apporter quelque chose d’autre que de l’argent Une histoire originale de la start-up qui permet d’avoir une croissance rapide. | Si l’entrepreneur n’est pas en mesure de se projeter dans 10 ans, ça ne l’intéresse pas. |
Eric LARCHEVÊQUE (il s’intéresse à la rigueur)
| Un entrepreneur qui sait s’arrêter de parler quand il le faut et qui a une forte capacité d’écoute.
| Il n’aime pas quand le projet part dans tous les sens. Il n’adhère pas avec les entrepreneurs qui arrivent avec des valorisations démesurées.
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N’oubliez pas le prochain épisode dès la semaine prochaine sur M6.
Sources : Ici , là et encore là
